« Si l’on part du principe qu’ils sortiront dans quelques années, les laisser dans ces conditions est sans doute le pire scénario possible », plaidaient dès 2020 les chercheurs belges Rik Coolsaet et Thomas Renard, de l’Institut Egmont.
Pauline Hofmann (Le Soir)Ces djihadistes européens dont personne ne veut
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