Horizon bouché. Jeunesse désespérée. Vie politique inexistante… Le double attentat-suicide qui a provoqué un carnage, mercredi, à Alger – 33 morts et 222 blessés selon le dernier bilan -, au coeur même du pouvoir algérien, contre le Palais du gouvernement, n\’a pas de quoi surprendre. Tous les ingrédients pour une telle tragédie étaient réunis.
Florence Beaugé (Le Monde)Le désespoir, matrice du terrorisme algérien
Posted on